Côté joies: celle de se savoir à la bonne place, ou tout au moins sur le bon chemin. Celle procurée par de nouvelles rencontres enrichissantes. Celle qui vient de la sensation que tout s'enchaîne et fait sens dans le parcours.
Côté difficultés: le déménagement, vraie rupture avec un lieu que l'on aime, des amis que l'on quitte malgré tout. Un nouveau lieu à investir – ne pas sous-estimer l'énergie physique que l'on dépense - , des voisins à apprivoiser.
"Le projet s'impose à nous, mais aussi les rythmes, me dit-elle. Ca s'accélère sans cesse d'un côté. Dans le même temps, concrétiser le changement (intérieur, psychique, imaginaire au départ), se fait sur un rythme différent, lent, pas à pas."
Au final on se retrouve souvent assez seul dans ce passage à l'acte, dans cette concrétisation. Peut-être est-ce le moment où l'on aurait aussi besoin de soutien. La suite dans un prochain post!
Bonjour Claire,
RépondreSupprimerJ'ai pris grand plaisir à visionner plusieurs de vos vidéos. J'en retiens une forme de sérénité partagée, une douceur dans les propos.
Tous semblent avoir trouver leur place.
Toutefois, ces vidéos risquent d'entretenir le mythe "Balavoine" selon Catherine, ce que moi j'appelle le mythe de "la chambre d'hôtes en Ardèche".
C'est à dire qu'il faut forcément être en rupture de vie pour trouver sa place. Or je constate que la plupart des gens qui trouvent leur place dans la vie ne font pas tous des changements spectaculaires. Quelques ajustements suffisent parfois. le plus gros changement, invisible, étant de se poser la question d'être à sa place ou pas, et de se mettre en chemin.
Des gens ordinaires qui font des choses ordinaires en quelque sorte ! :->
Tannguy
http://www.youtube.com/watch?v=p11VKq6jXhs
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